Dans ce roman vrai, de l’Afrique au Danemark, de New York à Londres, c’est toute une folle époque qui revit ici en couleurs et en cinémascope : Dominique de Saint Pern ressuscite la femme courageuse et la diablesse, mais aussi l’âme de cet âge d’or où l’on savait aimer, écrire et mourir en beauté. Le portrait intimiste d’une femme qui croyait profondément en la vie.
Blixen. Karen Blixen. Ce nom n’évoque plus grand-chose de nos jours. Pas davantage Isak Dinesen, son nom de plume. “Celui qui rit”, en hébreu. Isak, la perpétuelle promise à un prix Nobel de littérature qui n’est jamais venu. Quant à la baronne Blixen… de son vivant déjà, ses jeunes compatriotes danois la croyais morte. (…) Morte ? C’était mal la connaître. J’ai vécu plus de vingt ans aux côtés de Karen Blixen…
Dominique de Saint Pern, Baronne Blixen, Stock, p. 13.
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